Le petit poème du «Novice» («Mtsyri») est écrit, en vers de huit syllabes, à rimes uniquement masculines, mais alternantes. Cette forme ajoute à la poésie, par sa monotonie même, une énergie singulière. On l’a comparée au travail incessant d’un prisonnier frappant à coups redoublés sur les murs de son cachot.
M. Mérimée a bien voulu se charger de la révision de notre traduction: un pareil nom dispense de tout éloge et nous n’avons que des remercîments à lui adresser.